J'ai pris cette bédé par hasard à la bibliothèque du boulot. Je ne connaissais pas du tout mais avoir un livre neuf et aussi impeccable m'a donné de la prendre.
Cette bédé est une compilation des blogs de l'auteur qui collabore au grand journal du soir "Le Monde".
Alors, ce n'est pas hilarant, c'est pas forcément bien dessiné, on ne comprend pas forcément bien où il faut regarder pour lire la suite de l'histoire mais on apprend deux trois choses sur la cuisine, il y a quelques recettes et les choses les plus intéressantes, ce sont les voyages avec les présentations sur les plats qu'on peut trouver à l'étranger. Un livre n'a jamais autant correspondu à son titre. A lire mais certainement pas à acheter ou alors à un cuistot qui s'intéresse vraiment à son boulot. (2/5)
Je connaissais ce titre, il est caractéristique du début de la carrière d'Andy Moor avec des vocals trafiqués. On peut reconnaitre Carrie Skipper derrière les paroles qui est une habituée des productions Andy Moor. Avant de faire cet article, je n'aurais jamais pensé qu'il y avait de vraies paroles mais il y en a :
"And so
to you
daisies
they're all I see
And so
to you
daisies
they're all I see"
j'aurais juré qu'elle disait "Daydream" et non pas "daisies"... Les daisies sont des marguerites ou des pâquerettes, maintenant, je verrais toujours des marguerites quand j'entendrai cette chanson.
Cette version du titre commence directement par le refrain, s'enchaîne sur la bassline superposé à la beauté du son trance et de la voix trafiquée puis nous sommes en attente, ça monte, on attend, les voix reviennent et on arrive au break laissant la voix sans BPM derrière, on prend le temps de savourer ce refrain chanté avant la montée vers le refrain musical qui est très trance, pas de mélodie à chanter mais juste de la douceur à savourer avant que se répète le refrain musical ajouté au refrain chanté puis ça s'arrête déjà... Eh oui version "radio" ! (4/5).
Petit trafic de voix la première seconde pour rappeler que nous sommes avec Andy Moor puis les BPM montent, les sons se superposent et on arrive sur la voix basse accompagné du trafic de voix. On a déjà une jolie mélodie très élaborée, la boucle est relativement longue. Arrive la voix trafiquée avec le break accompagnée de lignes planantes trances. On est proche de Daydream mais une version bien plus élaborée, on sent l'expérience d'Andy Moor. Une nouvelle mélodie arrive avant une montée de style big room trance et la vrai mélodie arrive sans voix trafiquée, elle est très courte mais répétée plusieurs fois puis superposée avec les vocals. Une nouvelle montée arrive, plus longue, bien plus longue, elle donne envie mais seulement : pas de refrain, une discrète répétition de la boucle élaborée avant une outro. Il s'agit d'un titre très bien foutu en tout point mais les mélodies ne sont pas assez accrocheuses. Ce titre mérite toutefois d'être écouté. (3/5)
Un titre avec la vocaliste roumaine Adina Butar, aussi connue sous le nom de Mme Markus Schulz, je vous laisse apprécier la pochette du disque.
Nous commençons par une liste de basse bien électro voir même tech house avant que la voix mi-aiguë mi-grave d'Adina nous accueille avant de monter et de prononcer le refrain, derrière, le refrain musical arrive déjà avec une montée puis la mélodie trance très rapide avec soudain des doubidou superposés du meilleur effet. Le refrain est répété et très agréable. Puis s'enchaîne le couplet et le refrain chanté, la musique monte avant un moment tech-house avec des voix trafiquées puis le morceau se termine déjà. C'est très bon, mais trop court. Je vais donc chercher un original mix. (4/5)
Pas d'Original Mix mais un Extended Mix de 5 minutes 50. Nous commençons directement dans le vive du sujet, des lignes se superposent très vite et ça monte dès les 45 secondes avant que la ligne électro arrive, un préambule du refrain musical confirme où nous sommes, il est répété encore avant une montée, le break puis ce refrain musical qui nous ne donnes qu'une envie : le 1er couplet chanté qui arrive et il est toujours dans le break accompagné de lignes planantes très trances, la musique se fait de plus en plus présente derrière, cela monte avec les paroles puis refrain musical qui arrive dès que le couplet est terminé. Il est vraiment bon et quand les doubidou arrivent, on se sent encore mieux, vers la fin, un nouveau break pour le deuxième couplet. Ça donne envie de comprendre les paroles, mais c'est trop aiguë. La musique monte et arrive la tech trance avec la voix trafiquée puis la fin. Dommage, le morceau est de nouveau trop court ! J'aurais voulu une nouvelle répétition du refrain musical purement trance après la partie tech-trance ! (4/5). Ce titre mérite néanmoins un ajout dans ma playlist sélection Spotify.
Bonus : les paroles
"Love, haze, fog
Makes it harder to remember where we are
Time change through
It's harder to remember where we are
When you be like wild dream
Hiding in a distant memory
When I wake up and know that you're not here
And eventually we cannot play our fear
Love, haze, fog
Makes it harder to remember where we are
Time change through
It's harder to remember where we are"
En gros, l'amour rend aveugle, fait peur car on est dans l'incertitude.
Bonus : un clip a été fait : il est vraiment pas mal :
Pour cette première sélection, je me suis basé sur l'artiste que j'ai le plus écouté sur last.fm : Armin Van Buuren. Afin d'éviter de tomber sur des morceaux de compilations comme "A State Of Trance", j'ai choisi la playlist "This Is Armin Van Buuren" en aléatoire. Et je suis tombé sur Armin Van Buuren feat. BullySongs - Freefall.
A la base, je connais déjà une chanson s'apelleant Freefall (chute libre en français), celle de Nu NRG. Ainsi que le groupe Freefall avec le classique Skydive chanté par Jan Johnston (malheureusement non disponible sur Spotify et pas de vidéo officielle sur YouTube). Je suis le Facebook de Jan Johnston et elle se bat pour que l'ensemble de ses chansons soient disponibles légalement et cette chanson poserait le plus de difficulté.
Nous commençons pas le premier couplet masculin, Armin utilise beaucoup de chanteurs depuis le succès de What It Feels Like avec Trevor Guthrie. J'ai davantage de mal avec de la trance chanté par des hommes mais je ne suis pas complètement hermétique. Un fond de piano est derrière mais très vite remplacé par une atmosphère trance un peu fade. Le refrain chanté est accompagné d'une monté et le refrain musical est en même temps que le refrain chanté. Le drop arrive et il est bon, la mélodie est positive et pas mélancolique. Après le drop, pas de BPM, juste la trance fade sans piano qui revient, de nouveau le refrain avec une montée accompagnée de claps et de nouveau le drop. J'aime beaucoup le drop, pas trop la performance vocale et pas trop ce qu'il y avant les drops. (3/5).
Le remix propose dès le début un fond de piano, très agréable et même pendant le refrain, c'est très joli, surtout pendant la montée. La première version du drop pourrait être plus mélodique, de plus elle est très courte enchaîne trop rapidement sur le piano. Le refrain chanté la 2ème fois est accompagné de cordes mais pendant une durée très courte avant d'être supplanté par le piano et de nouveau le drop. Cette fois, il y a davantage de temps pour le drop et on commence à bien apprécier le titre mais trop tard, il est terminé. Ce titre est bien trop court. (3/5).
On commence par un bon BPM, un "Ready to freefall" répété avant une montée qui ouvre sur le piano qui accompagne le 1er couplet. J'ai du mal avec la performance vocale du refrain. Arrive le drop et cette fois, il est répété ! J'aime ces cordes et ce drop. Vers la fin, le "Ready to freefall" répété revient avec une nouvelle montée mais malheureusement, pas de nouveau drop ! Comment un titre peut-il se terminer par une montée ? (3/5)
En définitive, j'aurais bien aimé un mashup entre l'original mix et le remix de Manse. En fait, garder l'extended mix de Manse avec le drop original d'Armin. J'aurais bien également aimé avoir des dub ou des instrumental mix parce que j'ai du mal avec le vocal. En tout cas, ce titre est positif.
Nous sommes à Amsterdam, Armin tombe par hasard sur BullySongs et lui dit de venir dans son van. Ça a l'air inquiétant mais BullySongs fait un check à Armin donc ils se connaissent. Ils arrivent aux bureaux d'Armada, la maison de disque d'Armin. Armin invite ses employés à prendre un café. Les employés se demandent se qui se passe (cela veut dire qu'Armin ne fait jamais rien dans sa boîte ?), Armin fait un discours et annonce qu'ils vont sauter d'un avion en chute libre. Le clip arrive enfin avec un gentil mouton qui court. Les avions à hélices sont au milieu des champs. Le drop arrive pendant la chute libre et ça rend vraiment bien.
Dommage d'avoir utiliser l'annonce aux employés avant de vraiment commencer le clip, il aurait fallu mettre ça dans un making-of. (3/5)
De ce que j'ai compris, les paroles sont positives, il s'agit d'un couple qui se remets ensemble après avoir fait des erreurs mais sont d'accord pour "sauter" dans l'inconnu et réessayer.
